Le pape semble être devenu prudent sur la question des migrants. Il semble se souvenir qu'il est aussi chef d'état et pas seulement un pasteur. C'est une chose en effet que de rappeler l'exigence évangélique d'accueil d'autrui, c'en est une autre de gérer une invasion qui menace l'équilibre politique de l'Europe.
Le vent tourne et bientôt toute l'Europe sera gouvernée par des régimes soucieux de stopper le déversement de l'Afrique sur les côtes européennes. Le pape semble le comprendre et vouloir respecter la volonté des peuples européens qui constituent aussi la source du peuple chrétien.