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  • Notre Dame, les Templiers et la France.

     

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    "Notre Dame fut au commencement de notre religion et en elle et en son honneur seront, s'il plaît à Dieu, la fin de notre vie et la fin de notre Ordre".  Cette dévotion à Notre Dame résume toute l'histoire de l'Ordre du Temple qui s'acheva derrière Notre Dame,  sur le bûcher de l'ile aux Juifs où périrent le dernier Grand Maitre et ses compagnons.

    Comme Notre Dame l'ordre du Temple est un marqueur de l'identité française, européenne et occidentale. 

    Cela vaut de s'en souvenir à l'heure où Notre Dame se prépare à accueillir de nouveau la foule des croyants et des autres, en quête d'espoir et de foi. Puisse cette foule se rappeler de l'exemple  templier, ces combattants de la foi.

    Les Templiers furent d'abord des héros français et l'expression la plus achevée du génie spirituel de ce vieux pays de France. Mais ce furent des héros français à vocation internationale, animés par un dynamisme spirituel, matériel, financier et militaire qui entraina tout l'Occident. Très vite en effet ils devinrent une force internationale européenne, et ce n'est hélas qu'en France qu'ils furent persécutés.

    Ailleurs en Europe ils ne furent pas inquiétés et furent même à la base de la Reconquête en Espagne et au Portugal, en fournissant leurs biens et les chevaliers chassés de l'ordre. En Angleterre ils restèrent au service du roi en lui fournissant les juristes qui avaient rédigé la Magna Charta. 

    La fin de l'Ordre fut un procès  politique truqué, préfigurant les horreurs de ceux des révolutions jacobine ou stalinienne.

    De vieilles histoires ? 

    Hélas non car l'histoire se répète et l'actualité nous renvoie d'inquiétants échos qui présagent des combats à venir.  La France saura t elle retrouver l'esprit des Templiers, sous le regard de Notre Dame  ? 

  • Le RN et la question des retraites.

     

     

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    Laurent Wauquiez vient de rappeler au  RN que l'heure est au sens des responsabilités et non à des petits jeux avec LFI, un parti qui ne rêve que de transformer la France en grand foutoir avant de lui imposer sa dictature. Le problème pour le RN est qu'il semble  bien piégé dans dans sa promesse de ramener à 62 ans l'âge légal du départ en retraite. 

    De deux choses l'une en effet ou bien le RN est sérieux sur la question ou bien il ne l'est pas.

    S'il l'est alors tout est possible dans ce pays, y compris le pire, car prétendre nier les réalités démographiques sur le sujet ne peut qu'amener une crise financière et, soit la mise sous tutelle du pays, soit la sortie du jeu international et la prise de pouvoir par LFI avec l'aide d'un RN comme idiot utile.

    Soit le RN a le sens de l'intérêt de la France et il attend sagement le temps d'une dissolution légale de l'Assemblée Nationale pour  faire une campagne de vérité, sur le sujet des retraites comme sur les autres,.

    Après trente ans de mensonges, y compris de la part des amis de M. Wauquiez, le RN ne peut être un recours dans le mensonge et en flattant l'irréalisme des Français, seul peuple d'Europe à ignorer la réalité des chiffres et des faits économiques. Le RN ne peut être que le parti du réalisme.

    Impossible n'est pas français dit-on, il devrait donc être possible de dire la vérité aux Français pour les ramener enfin sur terre !

  • Vive l'evêque de Rome !

     

     

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    François ne veut pas être pape, mais l'évêque de Rome comme cela fut à l'origine de l'Eglise. Très naturellement donc il va rendre visite en Corse à un autre évêque, son voisin qui est aussi son " pote".Quoi de plus naturel et de plus sympathique !

    Il n'ira pas à Paris et il a bien raison, car Notre Dame c'est d'abord l'affaire de la France et de sa tradition religieuse.  Cela concerne le catholicisme bien sûr, mais d'abord celui de France et de son peuple.  Un peuple qui fut longtemps au service de la foi chrétienne, mais qui en a été détourné par une République dévoyée trop souvent. Cela est particulièrement vrai en ce moment, depuis qu'au sommet de l'Etat en décadence se trouve un homme falot qui court après les modes du temps

    . Un homme falot, mais aussi dangereusement décadent qui constitutionnalise l'avortement et transforme les JO en mascarade homosexuelle, bref  un homme que l'on n'a pas envie de rencontrer. François en a tiré les conséquences. Quant à la France elle ne redeviendra elle-même que lorsqu'elle sera de nouveau au service de Dieu. Et la-dessus François ne saurait qu'être d'accord.