" Aime ton prochain comme toi-même" ,tel est le fondement de l'évangile qui nous enseigne à accueillir à bras ouvert toute créature. Les bras ouverts, open arms, et c'est ici que commence la perversion de l'évangile par les ONG pirates.
Comme la capitaine gauchiste du "Ocean Viking" qui a forcé l'entrée du port italien, le capitaine du "Open arms" vient de refuser d'accoster à Algéciras en Espagne, car son but est politique avant que d'être évangélique : il veut débarquer en Italie car il s'agit de faire capituler ce pays et Mateo Salvini.
La perversion de l'évangile est ici flagrante et l'on aimerait bien entendre le pape François la condamner au nom du respect de la pensée de Jésus. Celui-ci demandait que l'on distingue ce qui revient à Dieu et ce qui est du ressort de César.
Or la défense des frontières italiennes relève de cette responsabilité césarienne.
Mateo Salvini a donc ici le beau rôle car il défend la frontière italienne et applique l'évangile à la lettre. En effet, pour aimer le prochain il faut d'abord s'aimer soi-même; ce que fait Mateo Salvini avec son pays et son peuple.
Avant que d'accueillir la misère du monde les Italiens essaient de régler leurs difficultés qui sont grandes. Le pape peut-il le leur reprocher ou est-il complice des ONG pirates ?
Ce n'est pas trahir un grand secret maçonnique que "divulguer" que le candidat à l'admission en loge doit d'abord mourir symboliquement en entrant dans le processus d'initiation. Qu'il soit rassuré ! Il ne sera pas torturé auparavant comme cela est le cas dans les initiations des sociétés primitives. Et il sera flatté d'apprendre, ou de comprendre, que le schéma initiatique reproduit celui du Christ: souffrances, mort et résurrection.
La religion est un sujet sérieux à condition de la pratiquer avec humour, cela est particulièrement vrai en Italie. Dans ce pays dont on dit souvent que la situation est tragique mais pas sérieuse, le pape François et Matteo Salvini se livrent un combat médiatique digne de la Commedia dell' Arte. La farce s'appelle " Plus catholique que moi tu meurs !"