http://le-vieux-templier.hautetfort.com/

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Agenda

  • Galouzeau de Villepin : une pointure sinon une candidature

     

     

     

     

     

     

     

    de Villepin.jpg

     

    Dieu que le nom sent bon la vieille France qui s'en va !  Un galouzeau c'est une sort de coq gallant et plaisant, tout à fait le personnage dont on dit qu'il sera candidat à la prochaine élection présidentielle. 

    Il faut s'en réjouir car une telle candidature est pleine d'enseignements. Elle est en effet  un saisissant raccourci entre la France du  18 è siècle et  celle du 21 è siècle.  Rien de nouveau depuis l'époque des  grands aristocrates franc maçons, intrigants et prérévolutionnaires, les Meunier de Précourt ou les Jean-Baptiste Willermoz qui firent le lit des Sans Culottes, comme Galouzeau de Villepin celui de Jean-Luc Mélenchon.

    Heureusement comparaison n'est pas raison. La France décadente de Macron n'est plus le pays à la démographie explosive qui allait envahir l'Europe en 1789 au nom d'idées contestables mais à la mode du temps.

    Aujourd'hui les idées à la mode de notre Galouzeau sont aussi portées par la démographie, mais une démographie étrangère qui fait disparaitre chaque jour un peu plus la vieille France de notre futur candidat présidentiel.

    Il devrait faire entre deux et quelques pourcents des votes mais il faut souhaiter sa candidature car elle est un témoignage de l'influence arabe et musulmane dans le paysage politique français. Elle peut aider à la prise de conscience des enjeux de l'avenir, non seulement en France mais dans toute l'Europe occidentale.

  • Le canard, le coq et le coquelet.

     

     

     

     

    140.jpg

    Lui c'est Donald le canard qui nous vient droit d'Hollywood, l'autre c'est Ursus, un vulgaire coq de basse-cour qui se prend pour  un ours russe, le petit dernier est un coquelet hexagonal.

    Donald   est le meilleur joueur de la basse cour. Lorsqu'il fait coin coin les commentateurs sont suspendus à ses lèvres ( pardon à son bec jaune) et se perdent en conjectures pour conclure doctement que le canard a parlé pour ne rien dire. Donald n'a pas de rivaux sauf le canard laqué chinois mais entre canards impériaux on s'arrange.

    Donald aime faire  coin coin pour amuser la galerie, mais il est malin et il évite habilement de  se mêler  des histoires du poulailler, sauf lorsqu'il  y a du grain à gagner. Dans ce cas  il utilise un gros bâton mais toujours à bon escient. Bref c'est lui le meilleur et il vient de le prouver en Iran.

    Ursus quant à lui aimerait bien être son compagnon de jeux exclusif mais il n'est pas très fréquentable sur son tas de fumier ukrainien.  Il y gratte en vain pour pas grand chose et s'il continue il pourrait bien se transformer en dindon de la farce. Pas glorieux et surtout ce serait  pour le plus grand profit des canards impériaux.

    J'aillais oublier le coquelet hexagonal. Il s'agite beaucoup pour rien dans la basse cour. Il court de droite à gauche pour picorer du grain dans toutes les mangeoires, mais le grain se fait rare et plus personne n'entend ses cocoricos aphones. Son nom ?  Il s'appelle Flop.