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Islam - Page 32

  • il n'y a pas de thérapie contre l'islamisme.

    120px-Flag_of_Saudi_Arabia_svg.pngCette note est une traduction de mon article précédent en Allemand, publié en réaction à  l'opinion exprimée dans le journal Die Welt du 10 11 2020 selon laquelle l'islamisme relève d'une thérapie.

    Eh bien non il n'y pas de thérapie contre l'islamisme, pas plus qu'il n'y a de thérapie contre l'homosexualité .(A noter que ceux qui s'insurgent contre les thérapies contre l'homosexualité  sont les mêmes qui prétendent soigner les enragés du Djihad.) Bizarre tout de même, mais passons  car le constat est grave, particulièrement en Allemagne.

    En fait, en Allemagne comme partout en Europe, les élites se refusent à associer islam et terrorisme au nom du  "pas d'amalgame". En Allemagne comme chez nous on compte sur la psychiatrie pour guérir les terroristes. Cette attitude est incroyablement naïve et irréaliste.

    Au lieu de poser la question de l'islam dans une société moderne, nos voisins continuent de vouloir "soigner" les islamistes et en faire de bons citoyens allemands.

    La vérité est qu'il n'y a pas  de thérapie à l'islamisme, parce qu'il s'agit d'un problème culturel collectif et non de quelques cas psychiatriques. La lutte contre l'islamisme exige une  action politique et culturelle reposant sur une analyse juste de le présence de l'islam dans la société européenne.

    Cette société est  sécularisée et décadente. Et elle est décadente justement parce qu'elle est  sécularisée, parce qu'elle a évacué Dieu des problématiques sociétales. La solution consiste à remettre Dieu au cœur d'un projet politique européen. Après, et après seulement, il sera possible de régler la question de l'islam et du terrorisme qui va avec en Europe. Une Europe sans Dieu, surtout une France sans Dieu ,ne le peut et sombrera.

    Au contraire, dans une Europe fermement  ancrée dans ses valeurs judéo-chrétiennes, l'islam sera amené, de gré, ou de force, à  reconnaitre le Dieu de  l'Occident, le Dieu de la liberté humaine.

  • Es gibt keine Therapie gegen den Islamismus.

    51512555-tete-de-pythagore - Copie.jpg Diese Notiz ist eine Reaktion auf den Artikel : "es gibt eine Therapie gegen den Islmismus" in der Zeitung  Die Zeit ( 10 11 2020 ) 

    Leider gibt es keine Therapie gegen den Islamismus, genauso wie gegen die Homosexuälitat . Aber  diejenigen die die Djihadisten heilen wollen, lehnen die Therapie gegen die Homosexualität ab. Es ist seltsam...aber lassen wir uns weiter machen, denn der Fall ernst ist, insbesondere in Deutschland

    In der Tat weigern sich die Eliten, in Deutschland wie überall in der EU, den Terrorismus, im Namen  der "nicht-Verschmelzung", mit dem Islam in Verbindung zu bringen. In Deutschland wie bei uns  erwartet man von der Pyschiatrie eine Heilung der Terroristen. Diese Haltung ist erstaunlich naiv und irrealistisch.

    Anstatt die Frage der Islam in einer modernen Gesellschaft zu stellen, glauben unsere Nachbarn weiterhin sie werden die Islamisten "heilen" und sie zu guten deutschen Bürger machen.

    Die Wahrheit ist, dass es keine Therapie für den Islamismus gibt ,weil es sich um ein kollektives kulturelles  Problem handelt, und nicht  einige psychiatrische Fälle.

    Der Kampf gegen den Islamismus fordert eine politische und kulturelle Aktion, die auf einer korrekten Analyse der Präsenz des Islams in der europäischen Gesellschaft, beruht.

    Diese Gesellschaft ist säkularisiert und dekadent. Sie ist aber deshalb dekadent weil sie säkularisiert ist, weil Gott, von den gesellschaftlichen Problemen, ausgeklammert wurde.

    Die Lösung besteht darin, Gott im Mittelpunkt eines politischen europäischen Projekts, zurückzustellen. Erst danach wird es möglich sein die Frage des Islams, beziehungsweise des Terrorismus zu klären.

    Ein Europa ohne Gott, insbesondere ein Frankreich ohne Gott, wird untergehen.

    Im Gegenteil, in einem, in seinen jüdisch-christlichen Werten, fest verankerten  Europa, wird der Islam bereitwillig oder nicht, gezwungen sein, den Gott des Westens, den Gott der freien  Menscheit,  anzuerkennen.

  • Islam et décroissance.

    120px-Flag_of_Saudi_Arabia_svg.pngLa  décroissance a commencé sous l'effet de divers facteurs, à savoir : la crise sanitaire mondiale, les guerres et le terrorisme, les politiques nationalistes protectrices limitant les échanges, les politiques écologiques de réduction de la demande énergétique. Mais il y a aussi des facteurs culturels qui y contribuent également, comme mais l'islam par exemple.

    Le terrorisme islamique mais  l'islam est en soi un obstacle à la croissance. Il a même longtemps maintenu les sociétés musulmanes en dehors de celle-ci. Aujourd'hui encore dans le monde musulman la modernité n'est qu'un vernis clinquant plaqué sur des sociétés  restées profondément traditionnelles, voire médiévales, comme dans les pays du Golfe. Dans ces pays  l'activité économique et la modernité ne sont  que mirages du désert. Elles ne concernent que les classes dirigeantes. Celles-ci maintiennent le peuple dans la religion  tout en pratiquant un double jeu hypocrite :police religieuse et  prières cinq fois par jour pour le peuple, prostituées et alcool dans les palais bien gardés des émirs.

    Pourtant,  et c'est un paradoxe, l'islam  peut aider le monde à entrer dans la décroissance et, de ce fait, contribuer à surmonter la crise globale,  tant au plan politico économique qu'écologique. En effet  l'univers musulman est celui du confinement casseur d'activité économique. Sur la carte de la planète c'est une immense tache verte qui délimite un espace quasi  monacal clos dont la vie est rythmée par les cinq prières quotidiennes. Sa finalité n'est pas la production mais la stabilité immuable de la vie sous le regard d'Allah dont le service est la seule raison d'être des humains. Dans ce monde-là, les femmes sont des bonnes sœurs voilées qui font beaucoup d'enfants et les hommes  des apôtres barbus et prosélytes, y compris par les armes. Cela s'appelle une théocratie régie par des règles contraignantes, avec ou sans covid.

    Ce dernier et le confinement sanitaire nous aident à comprendre combien  un tel univers clos est une punition. Mais il est vrai aussi que face au désir faustien de l'Occident de jouer à Dieu en refaisant la création au risque de la détruire et nous avec, l'islam apparaît comme un rappel à l'ordre naturel et divin. 

    Comment sortir du paradoxe et du dilemme ? Comment guérir notre folie sans tomber dans la dictature théocratique ? 

     Existe-t-il un autre modèle, nécessairement religieux lui aussi, mais fondé sur la  rationalité  réorientée vers Dieu  et en toute liberté de conscience ?  Une société ayant retrouvé les rythmes de la nature et vivant en harmonie avec elle ?

    Au-delà de la crise de la décroissance qui commence, c'est dans cette direction qu'il faut chercher les balises et les pistes. L'islam en offre quelques-unes, mais  la liberté chrétienne au service de Dieu beaucoup plus.