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Le vieux templier - Page 356

  • Omerta au Vatican : il n'y a pas que la pédophilie....

    images6OGIWAVF.jpgPrécisons tout d'abord que je suis catholique romain non pratiquant.... par la faute des pratiques incompréhensibles de l'église romaine. Je suis divorcé remarié et, de ce fait, exclu de l'eucharistie.

    Précisons aussi que ma spiritualité est de type initiatique, pour ne pas dire maçonnique, bien que je n'appartienne pas à la Franc Maçonnerie.

    Précisons enfin que cette note est l'expression de ma crainte de voir déçus une fois de plus mes espoirs de réintégrer la communauté catholique. Le pape François suscite beaucoup d'attentes, mais c'est aux actes qu'il sera jugé. Cela vaut pour la question de la pédophilie sur laquelle l'église catholique est sévèrement "épinglée" par l'ONU, mais cela vaut également de très nombreux dossier pendants dans l'église (comme celui des divorcés ) et qui semblent ne devoir jamais avoir de réponse. La loi du silence doit cesser à Rome si l'église romaine doit retrouver sa crédibilité et  s'adapter enfin à un monde dans lequel la communication joue un rôle croissant. A l'heure d'internet, pas plus que les politiciens, les cardinaux ne peuvent plus manipuler la communication. Tout se sait, à Rome aussi  y compris s'agissant d'histoires occultes qui ne le sont plus. J'en veux pour exemple le dossier des templiers....

     Depuis 700 ans, depuis 1314 en fait, beaucoup de progrès ont été faits sur la question et il serait aujourd'hui possible de réhabiliter les templiers au vu des dernières conclusions des chercheurs. Sur le sujet le Vatican a publié récemment un ouvrage de luxe à tirage limité intitulé Processus contra templarios . ....et depuis plus rien. Silence...comme si le Vatican était gêné de devoir reconnaître là encore qu'il s'est trompé.

    Pour marquer le 700 è anniversaire de l'ordre suspendu j'ai donc écrit, en réponse au Vatican, l'ouvrage intitulé  Processus contra templarios revisité  pour lequel j'ai demandé l'Imprimatur auprès de l'archevêché de Strasbourg en décembre 2013...et depuis plus rien. Silence .....devrai-je attendre encore 700 ans ? Certes il est vrai que l'Eglise moud dans l'Eternité mais à l'heure d'internet tout va très vite et à n'y prendre garde le Vatican pourrait bien se transformer en coquille vide désertée par la foi....ce que je ne  peux croire car moi j'ai la foi au point même de croire que la modernité a besoin de repères que seule l'Eglise peut apporter...un comble !

  • Jack Franck réincarne-t-il Leonard de Vinci ?

    sans-titre.pngSources :"Inexploré". La revue de l'INREES. ( en lien sur ce site. Cliquer sur comprendre un peu l'inexplicable )

    Jack Franck est l'un des meilleurs spécialistes mondiaux de Léonard de Vinci. Il a 7 ans lorsqu'il voit la Joconde pour la première fois il reçoit un choc, comme une possession instantanée, et depuis il n'a cessé de ressentir une affinité absolue avec la peinture du maître florentin.

    Petit Jacques doit alors absolument dessiner, encouragé par sa mère, sensible et passionnée d'art italien. Son père ne voit pas d'un bon œil l'acharnement de son fils dont la passion n'est pas toujours facile à vivre pour ses proches, ce n'est pas évident d'être un enfant précoce. Le garçon se forme de lui-même aux œuvres de Léonard de Vinci pour l'essentiel, et à  11 ans il intègre l'école des Beaux Arts de Boulogne sur Mer.

    A l'école des Beaux Arts  de Boulogne sur Mer il découvre d'autres maîtres mais rien n'ébranle le lien privilégié qui l'unit à Léonard de Vinci. Il copie avec acharnement jusqu'à se rendre compte qu'aucune technique connue ne permet de rendre le célèbre sfumato, ce voile délicat qui nimbe la Joconde. Jusqu'au jour où une fulgurance lui permet de redécouvrir la technique du maître dont le mystère n'avait pas été percé à ce jour. La radiographie des copies de Jack Franck, comparées aux originales, prouve que l'organisation de la matière y est identique, sans aucune trace de pinceau visible.

    Comment expliquer ces faits ? Jack Franck se méfie des réponses simples ou approximatives. Faut-il parler de réincarnation ? Contentons nous de penser que les limites de la conscience nous sont inconnues et gardons-nous de nous quereller sur des mots aussi futiles que réincarnation ou résurrection, car la vérité est a(A)u-delà.

     

  • La religion non merci ?

    imagesGKWD4D4R.jpgIl faut se réjouir de tout recul des fondamentalismes, vecteurs de haine, et pas seulement dans le monde arabe. Faut-il pour autant accepter un monde sans Dieu et sans religions, mu par les seuls ressorts du profit économique et de la rentabilité ?

    Ne nous y trompons pas en effet, l'attrait du Djihad n'est que le refus d'un monde sans Dieu et sans éthique autre que celle du profit. Cela est particulièrement vrai de la France, en proie à un certain laïcisme anti religieux qui ne laisse que vide et désespoir parmi les jeunes, et pas seulement les déshérités.

    Lorsqu'André Malraux prédisait que le 21è siècle serait religieux ou ne serait pas, il anticipait le vide des âmes qu'entraîne l'horreur économique mondialisée.

    Autre constat, c'est parmi les familles restées religieuses que les jeunes sont les moins déstructurés par l'influence de la culture pub. Ces jeunes là sont les mieux armés pour confronter la précarité et les incertitudes du monde d'aujourd'hui car ils sont structurés  et construits par leurs  références familiales et communautaires. Ces fameuses références communautaires dénoncés par ceux qui croient encore que la notion de citoyenneté nationale a encore un sens dans un monde globalisé qui ignore les frontières.

    La seule citoyenneté concevable est mondialiste et humaniste, fondée en Dieu, et non dans une conception abstraite de l'homme sans Dieu.

    Comment concilier cette citoyenneté mondialiste et l'engagement religieux, surtout dans le cadre d'une religion  non sécularisée comme l'est l'islam ? Par le dialogue interreligieux précisément et l'engagement éthique visant à  apporter à la société civile les valeurs éthiques portées par les religions.

      Pas plus en effet que le  projet politique ne peut être porté par le Dieu despotique des islamistes et des obscurantistes, pas plus  ce même projet politique ne peut se passer d'une vision de l'homme sans référence à Dieu. Sans cette référence il n'y a plus d'humanisme. Sans cette référence l'avortement devient boucherie, le respect de l'homosexuel confusion des genres,  l'égalité homme femme un affrontement, l'éducation un formatage économique, la mort le tabou absolu, et la vie une comédie absurde.

    La religion non merci ? Non mais au contraire la religion comme base de l'éthique et du progrès du singe humain en route vers les étoiles.