It is pity that the West only shares its Celtic heritage for commercial reasons and because of the hegemony of the English language. This amounts to forget that the West is rooted in the christian faith of the pilgrim fathers
Unfortulately Halloween sells better than All Saints Day, which is the christian version of the celtic celebration of the Dead (Gouel an anaon in the celtic breton language )
But so it is. We are now americans in terms of business culture and language. In that respect the Empire has vanquished Asterix even though the word money ( argent) in French is celtic ( argant in breton celtic )
However we can react the right way. Considering we are now supermarket americans why not celebrating also Thanksgiving ?
Let us remind of the first pioneers in a new world they had to conquer and develop for God's glory
Why shouldn't we too, the rebellious Gauls , celebrate Thanskgiving to thank God for its gifts and a promising future ? And we would celebrate all together, no matter our origins and religions, and of course the supermarkets would also make a lot of money out of it
Il est dommage que l'Occident ne partage son héritage celtique que pour des raisons commerciales et du fait de l'hégémonie de la langue anglaise, et cela en oubliant que l'Occident est ancré dans la foi chrétienne conquérante des Pères pèlerins, les pionniers d'un monde nouveau.
Mais c'est ainsi. Halloween fait vendre mieux que notre Toussaint, qui, faut-il le rappeler, est la christianisation de la fête des morts celte appelée encore Gouel an anaon en breton.
En fait nous sommes désormais culturellement et linguistiquement, américains, lorsque le business est en jeu. De ce point de vue l'Empire a définitivement vaincu Astérix . Petit cocorico cependant le mot argent est un mot bien de chez nous, un mot gaulois, (argant en breton )
On peut toutefois réagir dans le bon sens. Puisque nous sommes devenus des américains de supermarché pourquoi ne pas fêter aussi Thanksgiving ?
Rappelons que c'est la fête d'action de grâce des premiers pionniers d'un monde nouveau, qu'il leur appartenait de conquérir, et de mettre en valeur, pour la plus grande gloire de Dieu.
Pourquoi alors nous aussi, les gaulois réfractaires, ne ferions pas de Thanksgiving la fête d'une France remerciant Dieu, et prête à affronter le nouveau monde de son avenir ?
Et cela nous le ferions tous ensemble, quelle que soient nos origines et notre religion, et bien sûr les supermarchés y trouveraient leur compte !