Les difficultés liées à la question du voile ont pour cause une confusion sémantique..
Un voile n'est pas un foulard, un voile est fait pour masquer. Il faut donc distinguer entre une femme pieuse et une femme ma(s)quée par les agitateurs islamiques.
La première porte un foulard par respect pour Dieu et ses lois, elle n'est pas nécessairement musulmane car le temps n'est pas si loin où chez nous une femme n'entrait pas dans une église "en cheveux" et portait un foulard . Aujourd'hui ce genre de femme pieuse chrétienne portera plutôt la robe que le pantalon en signe de féminité. La femme pieuse est aussi bien chrétienne que juive ou musulmane. Elle doit être respectée.
Pour l'aider à être respectée le législateur doit donc la distinguer expréssement de la femme ma(s)quée derrière un voile ou une grille, voire enfermée dans une cage de tissus y compris à la piscine ou à l'hôpital.
A ce jour la distinction n'est pas faite et l'Etat n'intervient pas au nom d'un libéralisme libertaire suicidaire,au grand dam des femmes pieuses et de toutes les autres .
Il fut l'ennemi de l'Occident et de nos valeurs, les siens massacrent les miens en les traitant de chien et il fallait l'abattre, comme il faudra longtemps encore tuer les siens sans pitié.
La question du voile n'est pas l'affaire du président de la République selon ce qu'il a déclaré à la Réunion. Macron Ponce Pilate ? Un peu mais pas seulement. Emmanuel Macron est logique avec lui même.