La notion de peuple de Dieu se retrouve au cœur des trois grands monothéismes. A l'origine le peuple de Dieu est le seul peuple élu, à savoir le peuple juif.
La mutation du judaïsme apportée par le christianisme voit dans les baptisés de toutes origines le nouveau peuple de Dieu dans le cadre de la nouvelle alliance initiée par Jésus. Mais très vite on distingue un nouveau peuple élu parmi les baptisés, une nouvelle élite désignée par le Vatican : les Saints.
Puis vint l'islam et son Oumma ou le nouveau peuple de Dieu, une communauté fondée sur la récitation de la Chaada qui fait de vous un musulman en 5 minutes et pour toujours ( rétractation impossible ).
Comparons : d'un point de vue purement marketing l'avantage est à l'islam parcequ'il s'agit d'une religion très ritualisée qui convient aux esprits simples. Rien à voir avec la difficulté de devenir juif si vous n'êtes pas né de ventre juif ( un peu raciste le critère mais, suite à la Shoah, on a pardonné aux Juifs ce petit détail ). Rien à voir non plus avec les élus du peuple saint catholique. Pour en faire partie il faut être dans les petits papiers, ou petites combines, du Vatican.
D'où ma question. Mais où est donc le peuple de Dieu ?
Réponse : il est parfaitement invisible et peu importe la religion car il est d'abord au cœur de la conscience individuelle de chacun Il y a même des athées qui en font partie sans le savoir, car ils sont tellement aveuglés par la Lumière qu'ils n'en voient pas l'origine.
Mais alors comment réaliser le dessein de Dieu à travers son peuple ?
Réponse : en relativisant les différences théologiques pour agir concrètement à l'oeuvre de Dieu, l'Opus Dei, commune.
Imaginez un peu ce que pourraient Juifs, Chrétiens et Musulmans, s'ils décidaient de reconstruire ensemble la Maison Dieu, le Temple, à Jérusalem ?
Allah Akbar ! voilà qui rassure, voilà qui est viril, voilà qui est digne d'un homme qui a des "c....s" au point de se faire exploser au nom de Dieu. Face à ces fous nous opposons nos minets efféminés et transgenrés et bientôt, comme dans le métro de Londres, les toilettes publiques ne distingueront plus entre dames et messieurs.Certes en France nous n'y sommes pas encore car nous avons du retard comme toujours, mais pour être politiquement correct et en accord avec le prétendu modèle anglo saxon, tout le monde chez nous aussi devra pisser assis pour ne choquer personne. (Mais il est vrai aussi que les arabes pissent assis pour ne pas mouiller la djellabah, c'est à n'y plus rien comprendre )
Oublions les diatribes obscurantistes de vieux curés qui voient le diable derrière les tristes dérives commerciales d'Halloween pour nous souvenir que la Toussaint n'est que la forme christianisée de la vieille fête celte de Samain, le Nouvel An des Celtes. Loin d'être une histoire à dormir debout de fantômes et d'horribles créatures, la nuit du 31 octobre, la nuit de la Toussaint est une fête de la vie éternellement renouvelée ( symbolisée par le gui toujours vert ) Pour les Celtes la nuit de la Toussaint est une porte magique hors du temps entre le monde des vivants et celui des morts.