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Agenda - Page 232

  • Pour une morale responsable envers les migrants.

    Il serait immoral de tirer sur les migrants en dépit du fait que leur afflux massif constitue une invasion du continent européen. Mais organiser leur repêchage en mer  pour ensuite les laisser pourrir dans nos jungles urbaines est une faute morale.

     Comment alors concilier morale et politique ? 

    D'abord en cessant d'organiser le sauvetage en mer, cessons de les rechercher, ils seront toujours nombreux à atteindre nos côtes.

    Ensuite en gérant les arrivées dans la perspective d'une gestion gagnant/gagnant pour les migrants et l'Europe. Notre responsabilité morale est  engagée. Nous sommes responsables de l'avenir de tout migrant. Un avenir de migrant  peut être en Europe parfois, mais il est surtout  dans un retour préparé dans le cadre d'un projet de co-développement euro africain, voire euro asiatique s'agissant des Afghans.

    Ce projet ne peut être porté que partiellement par les Etats, trop lents à réagir et surtout trop loin du terrain. Le co développement revient à des ONG spécifiques aidées par les  Etats, mais par des Etats volontaristes, qui ne soient pas de simples lobbies au service des entreprises du CAC 40.

    Une telle politique de retour forcé est morale même si elle se fonde sur la création de camps de triages de réfugiés strictement contrôlés sur notre sol. Au contraire l'attitude libérale actuelle est politiquement correcte mais immorale. Elle consiste à relâcher tous les migrants, ou presque, dans la jungle de nos villes en leur laissant la "chance" d'être exploités  avec la bénédiction du pape. Dans les bidonvilles, la criminalité et la prostitution ils pourront toujours se nourrir du rêve américain transposé en Europe, surtout en Angleterre et en Allemagne.
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  • Allah Akbar et le pape son représentant.

    51512555-tete-de-pythagore - Copie.jpgAllah Akbar ! Dieu est le plus grand ! Aucun croyant monothéiste ne peut aller contre cette affirmation. Le problème ce sont les conclusions tirées de ce fondement de toute spiritualité par certains esprits religieux obsédés par le pouvoir, pouvoir qu'ils prétendent exercer au nom de Dieu.

    Chaque jour, ou presque, l'horreur islamiste nous le rappelle, mais n'oublions pas non plus que le pape prétend également exercer un pouvoir absolu puisque, selon la doctrine catholique, il dispose d'une délégation spéciale de Dieu faisant de lui son  représentant sur terre.  Ce qui justifie entre autres le dogme de l'infaillibilité pontificale.

    La pensée politique théocratique est un délire bien sûr, mais tant qu'elle subsistera l'islam continuera dans l'inhumanité exercée au nom de Dieu. Quant à l'église catholique c'est moins grave, son délire théocratique est inoffensif et  la réduit à n'être plus que  folklore et théâtre religieux. 

     

     

     

     

     

  • Du bon usage des religions.

    images.pngFaire passer un test de charia aux immigrants musulmans n'aurait rien de choquant car les religions peuvent être dangereuses si elles sont prises à la lettre, et surtout parce qu'elles sont toutes des pouvoirs théocratiques, y compris le bouddhisme comme le montre l'exemple tibétain.

    Prétendre les éradiquer est inutile car cela  revient le plus souvent à remplacer un pouvoir théocratique par un pouvoir laïc et antireligieux qui peut aussi être une idolâtrie comme le furent les régimes communistes et fascistes du 20 è siècle.

    Chassez Dieu il revient au galop car il est la légitimation ultime du pouvoir, soit directement (théocratie) soit en association volontaire forcée avec le pouvoir civil : curés jurés de la Révolution française, église catholique chinoise officielle, bouddhisme officiel en Thaïlande ou à Ceylan, islam religion d'état dans les pays musulmans etc etc.

    Il existe donc toujours un conflit latent entre la religion et l'état, le défi islamique n'est finalement que très naturel. Nos société laïques et sécularisés l'avaient oublié. Elles avaient cru naïvement que la religion n'était plus un facteur de pouvoir. La montée en puissance de l'islam dans ces sociétés  est un rappel à l'ordre qui, espérons-le, les amènera à prendre en compte de nouveau le facteur religieux dans la gestion de sociétés post modernes qui ne sont pas nécessairement athées.

    Il est au contraire  souhaitable qu'elles soient religieuses car l'athéisme n'est pas porteur de sens contrairement  aux religions. Celles-ci peuvent même être utiles pour rendre l'homme meilleur. Elles sont comme les langues d'Esope, elles sont bonnes ou mauvaises selon l'usage qui en est fait et selon l'utilisation qu'en font les Etats.