L'Ukraine est en train de devenir un cas d'école, d' école de guerre. En particulier concernant la guerre psychologique dans laquelle l'acteur Zélensky est passé maître.
Pour faire simple disons que cette guerre est une pièce écrite par les Américains qui assurent aussi la sécurité ultime du théâtre et le salaire des acteurs.
Le seul problème que le Pentagone ne maîtrise pas parfaitement est celui du comportement des acteurs susceptibles de modifier leur scénario. Les Allemands s'estiment très mal payés pour leur figuration et leur contribution matérielle, mais il est douteux qu'ils osent modifier le scénario.
Mais le plus gros souci des Américains est le génial artiste qui tient le premier rôle, j'ai nommé le grand acteur Zélensky Le pire pour les Américains serait que l'artiste improvise sa guerre à lui sans se soucier du script prévu. Malheureusement pour lui il a besoin d'accessoires très lourds et coûteux pour cela, des chards lourds que les Américains lui refusent, heureusement pour nous.
Depuis le début du conflit l'artiste fait tout pour que l'Otan aille trop loin et il peut compter pour cela sur les services anglais et les petits joueurs locaux, polonais ou baltes, qui ne pensent pas global. La guerre est un art certes, et sur le terrain elle ressemble parfois au jeu d' échecs avec ses visions fulgurantes du coup et de la suite victorieuse.
Mais les succès tactiques doivent s'inscrire dans une stratégie du long terme qui échappe à Zélensky, l'acteur romantique qui n'a pas compris que la guerre aujourd'hui est une planification informatique de la destruction et de la mort dans les Think Tank du Pentagone ou d'ailleurs.
De ça l'artiste Zélensky n'en a cure, et d'ailleurs, si j'ai bien compris, ses compatriotes meurent tous la fleur au fusil.
Dieu que la guerre est jolie ! disait amèrement le poète Guillaume Appolinaire qui en est mort, deux jours avant l'armistice du 11 novembre 1918.