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Suaire de Turin ou de la relativité des vérités scientifiques et théologiques.

christ01.jpg Depuis le dimanche 19 avril le linceul qui aurait enveloppé le corps du Christ est présenté dans la cathédrale de Turin en Italie.

Les scientifiques sont incapables de se prononcer sur l'authenticité de la relique car la datation au carbone 14 ne serait  fiable que sur un document non restauré au cours des siècles; or  ce n'est pas le cas d'un morceau de tissu qui a subi de nombreuses dégradations par l'eau et par le feu.Exit donc les certitudes scientifiques.

Mais qu'en est-il de la théologie catholique sur le sujet ? Le Vatican propriétaire de la relique l'exploite mais ne s'est jamais prononcé sur son authenticité. Selon Mgr Cesare Nosiglia ,archevêque de Turin "Ce n'est évidemment pas un discours de foi, car ce n'est pas un objet de foi ni de dévotion, mais cela peut aider à la foi" Tout dépend donc ce que l'on met sous le mot foi. Exit donc les certitudes religieuses.

Question : pourquoi donc scientifiques et théologiens sont-ils si souvent imbus de leurs dogmes et de leurs certitudes, alors que la connaissance et la foi sont au contraire caractérisées par le relativisme et l'impossibilité de dire quoi que ce soit sur le mystère de notre présence au monde ?

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