J'aurais pu illustrer cette note par une image représentant Jésus, l'homme qui, entre tous les grands inspirés, a su le mieux enseigner l'amour de la créature humaine, mais j'ai préféré l'homme universel afin de ne pas me situer sur le terrain uniquement religieux. Il n'y a ni noir ni blanc pour qui pratique l'amour du prochain au-delà de blessures historiques qui ne justifient pas l'abolition de l'histoire humaine.
Celle-ci nous apprend que les victimes deviennent les persécuteurs lorsque leur haine n'est pas remplacée par l'amour du prochain. Cet amour du prochain qui conditionne le progrès dans la lutte contre les comportements racistes.
C'est ce que Nelson Mandela a compris et appliqué en Afrique du sud, à l'opposé des comportements de ces prétendus anti racistes qui déboulonnent les statues en attendant de pratiquer la chasse aux blancs puis celle de ceux qui ne pensent pas comme eux. Déjà lors d'une récente manifestation parisienne un policier noir s'est vu traité de " vendu".
Tout commentaire est superflu mais la relecture des grands textes inspirés s'impose avant qu'il ne soit trop tard.