Source : Documentaire de la chaîne parlementaire le mardi 23 juillet 2024.
Comme le pape le Dalaï Lama est confronté à la réalité de la sexualité parmi ses clercs et ses ouailles, bref tout ce petit monde prêcheur de bonne morale a bien du mal à gérer les humbles problèmes de tuyauterie de l'humaine nature. Tout comme au Vatican, à Daramsala et ailleurs dans les centres bouddhistes, les problèmes de sexe associés à l'argent et au pouvoir, commencent à faire la une des médias.
C'est tout à fait normal mais à ce jour le bouddhisme était en odeur de sainteté en Occident. Ce dernier est volontiers critique envers le christianisme, mais naïf s'agissant des religions exotiques, y compris l'islam. Peu à peu la lucidité revient et l'on commence à comprendre que les milieux bouddhistes ne sont ni meilleurs ni pires que d'autres en matière de morale sexuelle, ou dans le rapport à l'argent et au pouvoir.
C'est ainsi, tout comme au Vatican les bouddhistes cachent leurs frasques et leurs turpitudes, mais tôt ou tard cela finit par se savoir et elles font la une des médias, à l'instar de celles des producteurs de cinéma, des footballeurs, des acteurs et des politiciens.
La nature humaine est ainsi faite qu'elle ne peu se passer d'égouts puants. Eh bien justement parlons en, car après avoir vidé les égouts dans la Cène/Seine comme aux JO, qu'est-ce qu'on fait ?
Eh bien tout simplement on revient à la religion traditionnelle de l'Occident, et pas besoin de tantrisme ou de Kama Soutra pour redécouvrir la beauté de l'amour chrétien. On revient au christianisme pour fonder le rapport à l'argent et au pouvoir sur une morale respectueuse de la nature et des êtres humains.
Et pas besoin de la Maya bouddhiste (le caractère illusoire du réel ) pour comprendre que tout n'est que vanité et qu'il n'y a de Dieu que Dieu !