La décision de la Cour Pénale Internationale d'émettre un mandat d'arrêt international contre Benjamin Netanyaou pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité illustre la dérive de certains juges. Ceux-ci, tant au plan national qu'international, usent désormais le Droit comme arme politique. En l'occurrence le juge de la CPI met sur le même plan de possibles erreurs de tir de Tsahal et la volonté génocidaire d'une organisation terroriste. Tout simplement scandaleux !
Cette dérive est d'autant plus regrettable qu'elle contribue à la décrédibilisation croissante d'instances internationales qui peuvent aider au maintien de la paix .
A noter que cette dérive des juges vaut aussi pour nombre de cours et tribunaux d'états démocratiques En France le Conseil Constitutionnel est au service de l'agenda politique de la macronie pour mieux retarder l'expression référendaire de la volonté populaire.
Mais il y a plus grave. Pour plaire à la rue arabe Emmanuel Macron a soutenu la décision de la CPI. Il déshonore ainsi notre pays. Honte à lui !