Depuis trente ans, sous la pression des milieux d'affaire en quête de main-d'œuvre bon marché et des humanistes qui ne connaissent que les individus et non les hommes tels qu'ils sont, l'Occident a cru pouvoir faire son profit d' une immigration africaine et culturellement non européenne.
Pendant ces trente années il ne fallait surtout pas alerter sur de potentiels problèmes sous peine d'être stigmatisé comme " raciste xénophobe". Heureusement le retour au bon sens se remarque peu à peu partout en Occident, et depuis peu le vent tourne dans la direction opposée. Désormais il est enfin compris que l'immigration n'est plus une richesse mais un problème.
En France 2023 s'achève par le vote d'une loi sur l'immigration qui exprime cette nouvelle sensibilité même si elle n' est qu'un début de réponse au problème.
L'enjeu maintenant est l'action au niveau européen car il ne sert de rien de vouloir réguler l'immigration à Paris si Bruxelles, ses technocrates et ses juges font la loi en France. Le vrai débat est l'autonomie de souveraineté des Etats européens en matière d'immigration face aux lobbies immigrationnistes de Bruxelles. Il faut espérer que les prochaines élections européennes seront l'occasion pour les peuples européens de faire comprendre à Bruxelles que la question de l'immigration est celle même du devenir de l'Europe, de ses institutions et de sa culture.