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Judaïsme - Page 43

  • Religions : communiquer plutôt que communier.

    images-photos-gratuites-libres-de-droits-commercial36-1560x1103.jpgL'œcuménisme est un mot à la mode dans les milieux religieux où il trouve très vite ses limites dans les luttes de pouvoir entre égos et institutions. Il  est donc très illusoire de pratiquer l'œcuménisme  sans en définir strictement les limites et les modalités. S'il est une forme de communication il faut l'encourager sinon il n'est que confusionnisme trompeur et piège à alouettes.

    A l'intérieur même d'une religion, la catholique par exemple, il vaut mieux là encore pratiquer une bonne communication qu'encourager illusions et hypocrisie. J'en veux pour exemple l'eucharistie, ce moment fondateur du christianisme que Rome a transformé en service d'épicerie. La communion est devenue une distribution de pilules agrées par la maison mère aux seuls bénéficiaires possesseurs de la carte d'ayant droit. En sont exclus par exemple les divorcés remariés...les autres peuvent avoir trente six maîtresses ils seront considérés comme des ayant droits.

    On voit dans cette caricature l'absurde de la religion. Il serait pourtant tellement simple de ramener la communion à la communication pour donner du sens à ce moment de convivialité partagée que devrait être l'eucharistie.

    En ce qui me concerne je ne vais plus à la messe le dimanche car j'y meurs d'ennui. Mais pour moi la messe est souvent remplacée par l'apéritif  partagé avec ceux que j'aime. L'apéritif c'est l'amour du vivant sur terre et dans l'éternité. Levons nos verres à la vie et à nos morts;  ce qui est une forme de communion des saints qui vaut bien la distribution des pilules agrées par le Saint Office.  Communiquer plutôt que communier ! Puisse-t-on y songer au Vatican !  

    Mais attention, honni soit qui mal y pense car il ne s'agit pas non plus d'encourager la communion... dans l'alcool !

  • Religions : des chiffres et des lettres seulement ?

    téléchargement.jpgAu début était le verbe, c'est à dire le mot, de là à dire que le mot est au début de toute religion il n'y a qu'un pas que je franchis, mais avec quelques réserves, car il y a aussi les chiffres, et peut-être un facteur + que nous ignorons.

     

    Dans le christianisme le mot est primordial et il justifie toutes les paroles en l'air dont nous abreuve le discours chrétien, celui du pape en particulier. Le judaïsme au contraire accorde plus d'importance aux chiffres et nul n'ignore que les Juifs savent compter. La cabale est un comput basé sur une combinaison de chiffres et de lettres.

    L'islam  a aussi son problème de chiffre. Comme il est arrivé le dernier sur le marché,il affirme haut et fort que Mahomet est le dernier des prophètes, donc que nul boutique concurrente ne peut s'ouvrir désormais pour le concurrencer.

    A l'inverse le christianisme enseigne que Jésus est le premier des Fils de Dieu, dommage qu'il affirme ensuite qu'il est l'unique fils de Dieu; ce qui le rend incompréhensible. Quant à la trinité elle est un reste du trinaire propre à la religion égyptienne avec l'histoire d'Osiris  et d'Isis.

    En allant plus loin Dieu est défini comme UN à l'opposé du polythéisme et de ses innombrables dieux, même si l'hindouisme admet le Dieu Un avec Brahman à ne pas confondre avec Brahma.

    Tout ceci bien sûr relativise le discours religieux qu'il ne faut pourtant pas sous estimer, car il exprime un besoin de Sacré et de Transcendance propre à l'humain, l'homme est le seul animal religieux. La religion est donc ce facteur + qui définit l'homme. Les paléontologues définissent l'apparition de l'homme sur terre au moment où il commence à enterrer ses morts. Cela donne à réfléchir.

    Bon dimanche amis d'internet et que Dieu, la Force, n'importe qui ou quoi, mais surtout le Bonheur soit avec vous ! Ainsi soit il !

     

  • L'islamisme est d'abord un défi spirituel.

    2939_2.jpgL'islamisme est un défi lancé à l'Esprit et à la spiritualité authentique.Ce défi doit être relevé mais pour cela les beaux esprits devront se mettre la main dans le cambouis.

    En  effet, la guerre contre la civilisation engagée par l'Etat Islamique est paradoxalement porteuse d'un grand progrès spirituel si nous savons aller au-delà des difficultés du présent et relever  le défi qui nous est lancé. Nous, c'est à dire les croyants au Dieu unique source de lumière et de progrès depuis Moïse, les prophètes et le Christ.

    N'oublions pas en effet que la démocratie et les droits de l'homme n'ont été possibles que parce qu'il y eut des croyants ayant eu suffisamment de foi en un Dieu de progrès et d'amour pour faire de l'homme son partenaire privilégié sur cette petite planète pas très évoluée.

    Concrètement cela veut dire quoi ? Cela veut dire qu'au-delà de toutes les religions, l'essence de la Religion ( ce qui relie à la Vie ) est par nature progressiste et évolutive. La Religion conduit  à la fois à la connaissance mystique par la conscience, et à la science par la raison. On ne peut combattre l'obscurantisme de l'islamisme radical que par la lumière de la Religion ancrée dans la foi et dans la raison.  Nous devons montrer aux djihadistes que notre  Dieu d'amour et de progrès humain est le plus grand. Nous devons leur prouver par nos actes qu'ils meurent pour une idole et un faux dieu.  

    Dieu est le plus grand ! C'est là le fondement de  notre foi dans la démocratie et le progrès de l'humanité vers son accomplissement spirituel, au terme de son évolution terrestre. 

    D'accord mais ici et maintenant qu'est-ce qu'on fait ? On prend trois croyants, un juif, un musulman et un chrétien, et on leur demande de nettoyer les chiottes ensemble après avoir récité le Notre Père. S'ils en sont capables le monde en sera changé. On leur donne ensuite une kalachnikov et on les envoie ensemble reconquérir le Moyen-Orient et, avec l'aide de Dieu, y établir enfin la démocratie.