Le pape vient de demander à ses ouailles d'accueillir les réfugiés sans se poser de questions et sans poser de questions au sujet de la religion des nouveaux arrivants.
Il a moralement raison mais il est intellectuellement dans l'erreur d'appréciation s'il ne mesure pas les suites possibles de la situation. Accueillir les réfugiés certes, mais après les avoir accueillis, il faut ensuite leur poser les bonnes questions. Celles que posent Marine Le Pen et tous les braves gens qui s'inquiètent de cette invasion musulmane qui ne dit pas son nom.