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Le vieux templier - Page 15

  • Le Président consulte en EHPAD

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Toujours aussi excellent joueur de pipeau notre Président cherche une mule pour la charger du lourd fardeau d'un pouvoir qui l'amuse beaucoup, et nous avec. Mais en fait au lieu de mule il vient de trouver un baudet nommé Thierry. Il l'a trouvé dans cet EHPAD républicain qu'est le Conseil Economique et Social et Environnemental, un de ces nombreux trucs inutiles et couteux de la République. C'est au CESE que finissent par aboutir nombre d'élus qui ne le sont plus, ou les protégés du système, comme cette chanteuse ruinée qui y fut placée il y a quelques décades.

    Je ne sais si Line Renaud en fait partie mais cela ne me surprendrait pas. Et pendant ce temps le pays  s'enfonce un peu plus chaque jour dans la crise sécuritaire, migratoire et bientôt financière. La banqueroute n'est pas loin car après avoir chanté tout l'été la cigale française se trouvera bientôt fort dépourvue, comme dit notre Jean de la Fontaine.

    Mais qu'importe, comme disent les Italiens, ces grands experts en la matière, "la situation est tragique mais pas sérieuse !"

     

     

     

  • Recours néo gaulliste.

     

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    La mascarade continue à l'Elysée, le président tourne en rond et cherche une solution pour " tenir" jusqu'à la prochaine dissolution qui ne peut avoir lieu avant un an. Elus contre le RN par  la magouille de l'entre deux tours les parlementaires s'agitent en vain eux aussi. 

    Le résultat est que le "vilain" infréquentable apparait comme l'home tranquille égaré chez les fous. Il lui suffit pour cela de faire en sorte que la continuité de l'Etat soit maintenue à minima.

    Le RN ne censurera donc  pas un premier ministre non issu du NFP s'il remplit certaines conditions. C'est le bon sens même et la réponse politique que les Français attendent pour sortir provisoirement de la crise actuelle.

    Provisoirement car l'issue de la crise est dans la dissolution et la tenue de nouvelles élections législatives sans tripatouillages. Mais le délai constitutionnel d'un an ne permet pas la dissolution, aussi, d'ici là, il faut permettre au président de jouer son rôle constitutionnel. Il faut lui permettre de mettre sur pied un gouvernement expédiant les affaires courantes et capable de voter un budget à minima reconduit à  l'identique, voire plus rigoureux, pour mettre la France à l'abri de nouvelles sanctions des marchés. 

    On peut donc compter sur le RN pour veiller à ne pas bloquer la machine de l'Etat en attendant qu'il puisse exercer le pouvoir en toute légitimité constitutionnelle. Il y parviendra d'autant plus facilement qu'il aura suffi  d'un été pour que le NFP  fasse la démonstration de sa dangereuse  irresponsabilité.

    De Gaulle a su attendre son heure, le RN fait de même et apparait désormais comme le recours néo gaulliste que la France attend. Eric Ciotti l'a compris, d'autres suivront.

  • Ukraine ça traîne !

     

     

     

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    Vivement la fin de la pièce car le spectacle commence  à traîner en longueur.

     L'incursion de Koursk avait redonné un peu d'intérêt au spectacle, mais l'effet de surprise est en train de se dissiper et ne peut masquer la dure réalité de l'avance russe, lente et inexorable. L'impression prévaut que la pièce se traine et que le dénouement est vainement reporté. Il ne peut plus y avoir d'effet de chute comme dans toute bonne pièce, et bientôt Zélensky ne pourra plus se réfugier dans le virtuel et le médiatique.

    A sa décharge il faut souligner  que depuis le début de cette tragédie il n' a jamais été que le bouffon du roi condamné à faire sonner ses grelots pour plaire à Washington où se décidera en définitive le sort de la guerre. Mais pour cela il faut attendre les élections de novembre,  et  pour l'heure  il faut supporter cette mauvaise et vaine pièce, quoi qu'il en coûte de sang versé pour de vains applaudissements sans lendemain.