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Agenda - Page 25

  • Un bébé nous est né!

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    L'ordre établi en 1945 par les Américains et les Russes a été enterré en grande pompe sous l'égide du grand fossoyeur Macron. A noter l'absence des Russes exclus de l'inhumation officielle et voués à une lente crémation en Ukraine.

    Mais l'Amérique était bien là représentée par un vieil homme fatigué. Toute cette nostalgie pour des embouteillages monstres et des raccourcis historiques discutables de la part d'un président français qui voudrait bien être De Gaulle mais qui se trompe d'époque.

    Le fait est que Poutine n'est pas Hitler, que la guerre en Ukraine n'est existentielle pour personne et qu'il serait peut-être temps de négocier avec les Russes une paix qui attend depuis 1945.

    Cette paix  viendra peut-être des nouvelles réalités qu'annonce la victoire des partis des peuples d'Europe aux élections du 9 juin.

    Réjouissons nous !  Après l'enterrement  un bébé nous est né le 9 juin. Souhaitons lui  bon  vent pour qu'il grandisse et puisse un jour transformer la bureaucratie bruxelloise en une assemblée démocratique exprimant la volonté des peuples européens. Le bébé européen est fragile mais il est enfin né, et il s'appelle Dieudonné en français, Déodat en  occitan et pourquoi pas Bogdanov en version russe puisque, ne l'oublions pas,  l'Europe s'étend de l'Atlantique à l'Oural

     

  • France dégradée, Le Pen accusé(e) !

     

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    L'agence de notation Standard and Poor's a dégradé la note de la France sur les marchés financiers, ce qui n'est que justice au vu de la géniale gestion du pays par Macron. Qu'importe !  Bruno Le Maire nous assure que tout va bien, quoi qu'il en coûte !

    Cette dégradation financière en annonce d'autres et elle n'est que la première facture. D'autres vont suivre, en particulier celles des JOs, boudés par les Français, mais voulus par le lobby de la France du déni et de la subversion.

    J'ai nommé cette France décadente incarnée par une chanteuse qui ne parle pas français, se vante de  son penchant pour le pétard... et plus.  On ne saurait choisir de meilleur exemple pour la jeunesse !

    Mais il est vrai que depuis un demi siècle il y a un coupable à tous les maux de notre pauvre France et il a nom Le Pen. 

    Le vieux truc du bouc émissaire. Les Français ne sont plus dupes mais la Macronie n'a toujours pas compris, et aux élections européennes sa candidate n'a d'autres arguments que la dénonciation de Marine Le Pen. 

    Mieux vaut rire de tout cela !

  • Ukraine oui ! Zélensky non !

     

     

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    Soutenir l'Ukraine est une chose, soutenir Zélensky en est une autre.

     La guerre en Ukraine se traine et il est temps de partir des faits pour envisager la suite.

    Face à l'agression russe il était légitime de se porter au secours de l' Ukraine, et il est légitime de continuer à le faire, mais jusqu'à un certain point, et en fonction d'une analyse géopolitique qui n'est plus celle de 2022.

    Le fait fondamental est que cette guerre ne peut  être gagnée, ni par Kiev, ni par Moscou, mais peut dégénérer d'une manière imprévisible comme ce fut le cas en 1914.

    A ce propos rappelons nous la parole de Guillaume II  "Das habe ich nicht gewollt !" "Je n'ai pas voulu ça "! Poutine dira t il aussi un jour "Eto  Ia nié  Xatil !"

    Il est donc temps de faire le choix de la paix négociée pour mettre un terme à un conflit qui n'est dans l'intérêt de personne.

    L'autre fait est que Zélensky est devenu illégitime en refusant d'organiser les élections prévues pour le 20 mai. En dehors des zones exposées du front l'organisation de ces élections est possible. Zélensky est en train de devenir un autocrate comme tant d'autres, or ce qui est en jeu en Ukraine, c'est aussi, et d'abord, la défense de la démocratie.

    Pour l'Occident il est donc temps de ne plus suivre Kiev, mais de négocier un accord global avec la Russie, en proposant par exemple la cession de territoires controversés en échange de l'adhésion de l'Ukraine à l'Otan et à l'UE. La place de l'Ukraine est au sein de l'UE et de l'Otan, mais comme vraie démocratie renforçant la frontière occidentale d'un Occident confronté à l'est comme au sud par la montée de la Barbarie