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  • La dérive des juges et de Macron.

     

    balance-justice.jpg La décision de la Cour Pénale Internationale d'émettre un mandat d'arrêt international contre Benjamin Netanyaou pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité  illustre la dérive de certains juges. Ceux-ci, tant au plan national qu'international, usent désormais le Droit comme arme politique. En l'occurrence le juge  de la CPI met sur le même plan de possibles erreurs de tir de Tsahal et la volonté génocidaire d'une organisation terroriste. Tout simplement scandaleux ! 

    Cette dérive est d'autant plus regrettable qu'elle contribue à la décrédibilisation croissante d'instances internationales qui peuvent aider au maintien de la paix .

    A noter que cette dérive des juges vaut aussi pour nombre de cours et tribunaux d'états démocratiques  En France le Conseil Constitutionnel est au service de l'agenda politique de la macronie pour mieux retarder  l'expression référendaire de la volonté populaire.

    Mais il y a plus grave. Pour plaire à la rue arabe Emmanuel Macron a soutenu la décision de la CPI. Il déshonore ainsi notre pays. Honte à lui !

  • Le pèlerinage des mécréants.

     

     

     

    420px-Stjacquescompostelle.pngComme chaque année à l'occasion de la Pentecôte plusieurs milliers de jeunes catholiques traditionnels ont marché de Paris vers Chartres. Au jour d'aujourd'hui ces jeunes cathos en uniformes scouts font  un peu bizarre dans le paysage, mais  ni plus ni moins que les drag queen des médias et de l'eurovision.

    Qui est dans le vrai ? Ceux qui trouvent du sens à  un conte pour enfants bimillénaire  ?  Ou ceux qui s'éclatent dans la sexualité ?

    Et que penser de ces autres bizarres,  ces femmes engrillagées et ces hommes barbus en robe qui ne rêvent que d'aller tourner sept fois autour de la pierre noire ( Kaaba) de la Mecque pour y adorer Allah ?

    Comment vivre avec  tous ces bizarres  et construire ensemble un monde pour tous ?

    Peut-être faut-il pour cela croire  en un Dieu vivant que nos pouvons tous partager sur le chemin de nos pèlerinages ?

    Ce n'est que la réponse du pèlerin mécréant que je suis. Peu importe que nous marchions vers Chartres, Rome ou La Mecque si nous marchons en liberté vers le but de la vie,  la mort sereine qui nous attend au bout du chemin, le soir venu.

    Sans me soucier le moins du monde de St Jacques et de la Sainte Eglise j'ai marché en  liberté vers Compostelle en regardant les étoiles. Cela m'a valu de marcher pendant trois mois depuis l'Alsace, en accumulant les tampons sur le carnet du pèlerin ( la crédenciale ), pendant 2850 kilomètre, autant dire pour rien, rien d'intéressant,  rien que mon petit moi physique et mental à gérer, rien que de l'apparence, car le chemin réel  est en moi, il me parcourt depuis ma naissance et  me continue dans l'Eternel. 

    C'est pareil  pour chacun de nous. Telle est la loi et la foi que nous partageons tous, au-delà des chemins divers que nous parcourons.

    Simone Weil le pensait aussi .Je la cite en conclusion " Tant que Dieu n'a pas pris possession de toi, tu ne peux pas avoir la foi, mais simplement une croyance, et peu importe que tu aies ou non cette croyance,  car tu peux aussi bien arriver à la foi par la non-croyance"

    PS :  sur ce point la pensée de Simone Weil nous amène à surmonter l'agnosticisme et  à s'intéresser aux notions cabalistiques  de En Sof et de Tsimtsoum. Elles permettent de sortir du cartésianisme dualiste comme de l'illusoire Maya bouddhiste.

    PS : ne pas confondre Simone Weil et Simone Veil.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

  • Démocratie et ethnicité.

     

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    La démocratie est ancrée dans des principes et une conception abstraite de l'homme mais les réalités ethno culturelles nous rappellent  que l'homme n'existe qu'en situation et dans la différenciation ethno culturelle. Peut-être faudrait il en tenir compte pour revitaliser notre démocratie malade, faire face au défi migratoire et répondre aux  problèmes de nos banlieues, de Palestine ou de Nouvelle Calédonie.

    Dans ce pays les canaques se plaignent du grand remplacement ethnique blanc dont ils sont victimes et qui fausse toujours plus les résultats électoraux en leur défaveur. Cela vaut pour Israël où un jour les musulmans arabes seront majoritaires. Cela vaut aussi  pour la France de demain dans les territoires ultra marins et dans certaines villes de métropole de moins en moins françaises culturellement et ethniquement.

    Il est donc temps peut-être de poser la question de la démocratie en termes nouveaux, c'est à dire dans la reconnaissance des différences ethno culturelles qui ne sont pas incompatibles avec le respect d'une loi commune.

    En clair cela signifie que l'ethnicité peut être associée au développement de sociétés humaines différenciées mais liées par un contrat de citoyenneté de type fédéral ou confédéral. Sans ce contrat citoyen et communautaire l'alternative ne peut être qu'une forme d'apartheid de fait, renforcée parfois par des murs séparant les communautés. 

    A l'échelle universaliste les droits de l'homme sont les droits des canaques tout comme ceux  de palestiniens musulmans, juifs ou chrétiens. Ce sont aussi  les droits de nos banlieues musulmanes, ceux des gens bizarres et LGTB, mais ce sont aussi le droit  des blancs et des judéo chrétiens à rester ce qu'ils sont.

    Dieu pour tous et chacun pour soi ! Voilà la base du "Vivre ensemble". Cessons de rêver  au passé et admettons enfin que la République une et indivisible a vécu.

    Mais la République n'est pas la France, celle-ci est d'hier et de demain au cœur d'un Occident qui attend  sa lumière.