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Non ce n'est pas une histoire de fantôme ( suite et fin )

sans-titre.png  Il lui répondit qu'il ne pouvait pas l'aider car la police ne pouvait rien faire sans preuve. " Je vais te donner des preuves " répondit-elle.. La voix révéla que les preuves, c'était ses bijoux." Après m'avoir tuée, il m'a volé mes bijoux et il les a donnés à sa petite amie".Le mari d'Alisia rapporta le contenu de ces échanges à l'inspecteur de police. Mais comment faire pour consigner cela dans un rapport officiel ?

 L'inspecteur décida de faire une enquête sur Alen Schowery. Celui-ci fut donc soumis à un interrogatoire serré. Non seulement il la connaissait, mais il habitait non loin de chez elle. Il avoua qu'il devait se rendre chez elle le soir du meurtre pour réparer sa télé, mais n'ayant pas les outils appropriés il rentra chez lui. Sa petite amie fut également interrogée. Elle avoua avoir eu de son compagnon de nombreux bijoux en cadeau. La famille de Térésita fut alors invitée au commissariat pour inspecter les bijoux qu' Alen Schowery avait offerts à sa petite amie.La famille reconnut immédiatement un gros collier de jade que Térésina portait souvent sur elle. D'autres bijoux dont une bague de Térésina furent également reconnus. Devant ces preuves flagrantes, Alen Schowery fit des aveux complets.

Durant le procès le tueur plaida non coupable prétextant " que le témoignage d'un esprit ou d'un fantôme ne peut être recevable ". Le jury en décida autrement et le condamna à 14 ans de prison.

 

L'information communiquée par Michel Thomas du  Centre Spirite de Thann en Alsace, a été publiée la première fois par le Herald Tribune en août 1978.

 

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