http://le-vieux-templier.hautetfort.com/

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Faut-il avoir peur des Francs-Maçons ?

sqmini.jpgComme le monstre du Loch Ness ou les Ovnis, le thème des Francs-Maçons émerge régulièrement dans l'actualité. Le plus souvent en été car les frères trois points fournissent la matière d'excellents articles à lire sur la plage. Les journalistes en mal de copie aiment traiter des sujets entourés de faux ou vrais mystères, les Francs-Maçons sont de ceux-là. Le sujet est à classer sous la rubrique des faux mystères car il suffit d'aller sur internet pour entrer en contact avec eux.

Les Francs-Maçons refont surface généralement lorsque la Gauche est au pouvoir, et, de fait, en France, l'opinion les associe justement à cette sensibilité. Cela remonte aux origines de la IIIè République qui fut  effectivement conçue dans les ateliers du Grand Orient. Mais il faut préciser que cette obédience irrégulière, liée historiquement à la Gauche, n'est qu'une exception française peu influente au plan mondial. Au plan mondial la Franc-Maçonnerie est une institution anglo-saxonne, c'est à dire reconnue par la Grande Loge Mère d'Angleterre qui en garantit la régularité.

Faut-il avoir peur de ces hommes et femmes de l'ombre qui influent puissamment sur les gouvernements et les institutions ? La réponse est non. Certes, il y a parmi eux des affairistes et des individus assoiffés d'honneur et de pouvoir, mais l'immense majorité, toutes obédiences confondues, est constituée d'hommes et des femmes sincères dans leur quête de vérité et leurs engagements divers au service de la communauté humaine.

Dans ce cas pourquoi alors ne se manifestent-ils pas ouvertement , diront certains ? Peut-être parce que la discrétion maçonnique permet à ceux qui se combattent ouvertement pour amuser le public ( c'est le jeu de la politique par exemple)d'oublier leurs différences au sein de la Loge afin d'oeuvrer ensemble pour trouver, sinon les solutions communes, du moins les compromis nécessaires à la paix et au progrès social.

 

Les commentaires sont fermés.