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Le vieux templier - Page 362

  • Jack Franck réincarne-t-il Leonard de Vinci ?

    sans-titre.pngSources :"Inexploré". La revue de l'INREES. ( en lien sur ce site. Cliquer sur comprendre un peu l'inexplicable )

    Jack Franck est l'un des meilleurs spécialistes mondiaux de Léonard de Vinci. Il a 7 ans lorsqu'il voit la Joconde pour la première fois il reçoit un choc, comme une possession instantanée, et depuis il n'a cessé de ressentir une affinité absolue avec la peinture du maître florentin.

    Petit Jacques doit alors absolument dessiner, encouragé par sa mère, sensible et passionnée d'art italien. Son père ne voit pas d'un bon œil l'acharnement de son fils dont la passion n'est pas toujours facile à vivre pour ses proches, ce n'est pas évident d'être un enfant précoce. Le garçon se forme de lui-même aux œuvres de Léonard de Vinci pour l'essentiel, et à  11 ans il intègre l'école des Beaux Arts de Boulogne sur Mer.

    A l'école des Beaux Arts  de Boulogne sur Mer il découvre d'autres maîtres mais rien n'ébranle le lien privilégié qui l'unit à Léonard de Vinci. Il copie avec acharnement jusqu'à se rendre compte qu'aucune technique connue ne permet de rendre le célèbre sfumato, ce voile délicat qui nimbe la Joconde. Jusqu'au jour où une fulgurance lui permet de redécouvrir la technique du maître dont le mystère n'avait pas été percé à ce jour. La radiographie des copies de Jack Franck, comparées aux originales, prouve que l'organisation de la matière y est identique, sans aucune trace de pinceau visible.

    Comment expliquer ces faits ? Jack Franck se méfie des réponses simples ou approximatives. Faut-il parler de réincarnation ? Contentons nous de penser que les limites de la conscience nous sont inconnues et gardons-nous de nous quereller sur des mots aussi futiles que réincarnation ou résurrection, car la vérité est a(A)u-delà.

     

  • La religion non merci ?

    imagesGKWD4D4R.jpgIl faut se réjouir de tout recul des fondamentalismes, vecteurs de haine, et pas seulement dans le monde arabe. Faut-il pour autant accepter un monde sans Dieu et sans religions, mu par les seuls ressorts du profit économique et de la rentabilité ?

    Ne nous y trompons pas en effet, l'attrait du Djihad n'est que le refus d'un monde sans Dieu et sans éthique autre que celle du profit. Cela est particulièrement vrai de la France, en proie à un certain laïcisme anti religieux qui ne laisse que vide et désespoir parmi les jeunes, et pas seulement les déshérités.

    Lorsqu'André Malraux prédisait que le 21è siècle serait religieux ou ne serait pas, il anticipait le vide des âmes qu'entraîne l'horreur économique mondialisée.

    Autre constat, c'est parmi les familles restées religieuses que les jeunes sont les moins déstructurés par l'influence de la culture pub. Ces jeunes là sont les mieux armés pour confronter la précarité et les incertitudes du monde d'aujourd'hui car ils sont structurés  et construits par leurs  références familiales et communautaires. Ces fameuses références communautaires dénoncés par ceux qui croient encore que la notion de citoyenneté nationale a encore un sens dans un monde globalisé qui ignore les frontières.

    La seule citoyenneté concevable est mondialiste et humaniste, fondée en Dieu, et non dans une conception abstraite de l'homme sans Dieu.

    Comment concilier cette citoyenneté mondialiste et l'engagement religieux, surtout dans le cadre d'une religion  non sécularisée comme l'est l'islam ? Par le dialogue interreligieux précisément et l'engagement éthique visant à  apporter à la société civile les valeurs éthiques portées par les religions.

      Pas plus en effet que le  projet politique ne peut être porté par le Dieu despotique des islamistes et des obscurantistes, pas plus  ce même projet politique ne peut se passer d'une vision de l'homme sans référence à Dieu. Sans cette référence il n'y a plus d'humanisme. Sans cette référence l'avortement devient boucherie, le respect de l'homosexuel confusion des genres,  l'égalité homme femme un affrontement, l'éducation un formatage économique, la mort le tabou absolu, et la vie une comédie absurde.

    La religion non merci ? Non mais au contraire la religion comme base de l'éthique et du progrès du singe humain en route vers les étoiles.

  • France : Le pouvoir athée à la dérive.

    sans-titre.pngFrançois Hollande est allé rencontrer le pape François, mais pourquoi faire ? Les deux hommes n'ont rien à se dire et si François Hollande croit récupérer par cette visite un électorat catholique volontiers gogo, il se trompe lourdement car cette fois les catholique ont compris, (avec d'autres d'ailleurs comme les juifs et les musulmans) que le pouvoir socialiste veut leur mort au nom de son idéologie athée.

    Contrairement aux USA ou à l'Angleterre qui, à juste titre sacralisent le pouvoir dans la référence à Dieu  ( In God we trust ...God save the Queen ),contrairement également  à la Russie qui a renoué le lien sacré entre pouvoir et religion, la France se veut la championne d'un laïcisme sectaire et militant qui prétend éradiquer la religion et lui substituer une doxa athée ignorant les sexes, les différences humaines et le simple bon sens.

    Le gourou de la secte infiltrée dans tous les rouages de la république française ( surtout dans l'université )n'est autre que le président lui-même. Ce dernier par sa politique sectaire et par son comportement  a créé au sommet de l'Etat la plus extrême confusion. En refusant toutes les règles et références sacrées, à commencer par celles du mariage,  il s'est  précipité lui-même au fond du trou d'égoût.

    Qu'est-il donc aller faire à Rome ? Le nouveau pape avance prudemment sur le chemin de la modernité mais pas au point d'accorder sa bénédiction à cet apprenti sorcier qu'est François Hollande.