A Marseille le pape ne voulait pas être en France mais plutôt en Méditerranée, voire en Orient. Marseille était bien le lieu pour cela car les gaulois n'y furent jamais nombreux après qu'un chef gaulois local eut accordé un terrain aux immigrants grecs qui y fondèrent le port et la ville. Depuis Marseille a été peuplée d'immigrants, surtout méditerranéens. Aujourd'hui, plus qu'ailleurs Marseille est une ville peuplée "d'arabes", ces "arabes" qui font tourner la France mais qui ne sont pas tout à fait la France.
En effet ils ne mangent pas de cochon et ignorent que le sanglier, ce vieil emblème gaulois, est un marqueur identitaire français. Pour être la France il faut d'abord respecter ceux qui mangent du porc. Ceci précisé la France se fait avec les "arabes"
Point besoin de statistiques ethniques en effet pour comprendre que sans eux les bus ne fonctionnent plus, les chantiers s'arrêtent, les hôpitaux ferment et aussi beaucoup de prisons. Bien sûr les derniers " gaulois" font eux aussi tourner ce pays. Mais la France désormais ne fonctionne plus sans ses "arabes", très souvent kabyles d'ailleurs.
Grace à ses "arabes" la France tourne encore et statistiquement tout serait donc pour le mieux dans le meilleur des mondes de l'économie libérale, sauf qu'il y a malaise dans la culture dans notre beau et accueillant pays, dans nos écoles en particulier où la France ne reconnait plus ses enfants.
C'est ainsi parce que les "arabes" qui font la France ne sont pas la France. Pour qu'ils le soient, il y faudrait une révolution culturelle de nature religieuse et humaine en commençant par Marseille.
Dans cette ville le pape pro musulman s'est fait applaudir par nos " arabes", mais ce n'est pas à lui de résoudre notre problème avec les "arabes", c'est à nous chrétiens de France. Dans cette perspective le catholicisme pourrait y aider, mais certainement pas le catholicisme d'un pape qui ne comprend ni l'Europe ni la nature des phénomènes migratoires.
Le président était aussi à Marseille où il a gentiment participé à la messe de François, au grand dam des laïcards purs et durs. Face aux "arabes", ceux qui sont là et ceux qui débarquent chaque jour, notre président est à la peine et il ne sait plus à quel saint se vouer. Malheureusement pour lui François n'en est pas un, François ce Mélenchon en soutane qui ne nous aide guère.