http://le-vieux-templier.hautetfort.com/

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Aux Niçois qui mal y pensent.

    140.jpgVu de Nice il est difficile de comprendre et de soutenir la guerre d'Ukraine. Un peu comme dans l'affaire du Covid les Niçois ont l'impression qu'on les prend pour des demeurés. Pour comprendre il faut aller au cirque de la politique y voir des animaux un peu particulier.

    Souvenez vous de François Hollande et  son  mariage pour tous, sauf pour lui.  Poutine et Zélensky lui ressemblent, mais alors que Hollande ne fût jamais que le Gugus au nez rouge, Poutine et 2élensky sont de sinistres  clowns tristes. Ils pratiquent la guerre pour tous, mais bien sûr, ni pour pour eux ni pour leurs proches, et cela commence à se savoir, surtout sur la Côte d'Azur.

    Sur la Promenade des Anglais on parle beaucoup russe, et l'on voit de belles familles jouir du soleil et du ciel bleu. Mais nul ne sait si elles sont russes ou ukrainiennes. Même chose si vous montez dans les stations de ski à Auron ou Isola 2000 . Vous y entendrez encore beaucoup parler russe mais vous ne saurez pas qui est russe ou ukrainien.

    C'est très bien ainsi, mais ça pose quand même question, car à Bakhmut et ailleurs, des jeunes gens meurent pour la patrie, des deux côtés, et ils seraient sans doute scandalisés de savoir combien il y a de " planqués" sur la Côte d'Azur.

    On peut donc comprendre qu' Andriy Schchegel,  jeune comique et humoriste ukrainien, ait décidé de ne pas devenir tragédien comme son modèle Zélensky,  et  de ne plus retourner en Ukraine pour échapper à la conscription. Il  vient de déclarer sur une chaine de télévision  ( source LCI)  qu'il était un artiste et qu'il n'avait pas envie de mourir. Il se posait aussi la question de savoir ce qu'est une nation.. 

    Bonne question à laquelle je me propose d'esquisser une réponse dans une prochaine note, très sérieuse celle-là. Mais en attendant "Honni soit qui mal y pense !"